Comme de nombreux participants à l’AVARAP, je ne suis pas entrée dans le groupe au mieux de ma forme. Après dix années d’une vie professionnelle trépidante chez un grand de la mode, j’étais épuisée physiquement et moralement, au point d’être mise en arrêt maladie et d’envisager de négocier mon départ. Un échange approfondi avec une amie qui avait participé à un groupe AVARAP m’a convaincue que j’y trouverai des solutions aux problèmes auxquels j’étais alors confrontée : un quotidien à rebâtir, un cap professionnel à réinventer et une confiance en moi à reconstruire.

La méthode structurée et le travail en groupe m’ont tout de suite parus propres à pallier à ce qui me faisait le plus défaut à ce moment là : un manque de contacts et une difficulté à structurer mon temps après une hyper sollicitation qui durait depuis plus de vingt ans.