« Quand on se retrouve au chômage on est  déstabilisée et on se sent désarmée.

Pour moi le déclic a été une conversation dans le métro avec quelqu’un qui était passé par l’Avarap  et qui m’en a parlé d’une manière tellement positive que je me suis dit  que je devais aller voir. J’ai choisi l’Avarap pour la démarche de groupe.

Il y a une grande richesse d’expériences, les profils sont parfois complètement différents et les  échanges sont fructueux.

L’énergie circule et s’il y a des  moments de découragement ils ne touchent pas tout le monde en même  temps.

On se sent accueillie dans un climat de  confiance, on peut parler librement de ses projets mais d’une manière  professionnelle.

La méthode Avarap demande beaucoup de discipline : c’est un peu comme dans l’entreprise mais on est tous solidaires. »