Nathalie, ingénieure agronome
« Quand on se retrouve au chômage on est déstabilisée et on se sent désarmée.
Pour moi le déclic a été une conversation dans le métro avec quelqu’un qui était passé par l’Avarap et qui m’en a parlé d’une manière tellement positive que je me suis dit que je devais aller voir. J’ai choisi l’Avarap pour la démarche de groupe.
Il y a une grande richesse d’expériences, les profils sont parfois complètement différents et les échanges sont fructueux.
L’énergie circule et s’il y a des moments de découragement ils ne touchent pas tout le monde en même temps.
On se sent accueillie dans un climat de confiance, on peut parler librement de ses projets mais d’une manière professionnelle.
La méthode Avarap demande beaucoup de discipline : c’est un peu comme dans l’entreprise mais on est tous solidaires. »