Céline, documentaliste
Ce qui m’effrayait de prime abord c’était la durée des séances hebdomadaires (trois heures chaque semaine), l’heure de la fin de la séance hebdomadaire (22 heures) un peu tardive et la confrontation à un groupe, une épreuve pour moi qui manquais de confiance en moi. J’ai surmonté ces inquiétudes dès mon entrée dans le groupe AVARAP. Mes doutes ont été vite balayés grâce à la qualité des personnes qui composaient mon groupe et à l’ambiance qui s’est installée dès le début. Dans ce parcours, l’étape du miroir a été essentielle pour moi car elle m’a permis de connaître les autres participants et de me rendre compte que, derrière des assurances de façade, il existait chez certains des fragilités qui résonnaient avec mes fragilités propres.