Tous les groupes AVARAP se choisissent un nom. Nous vous présentons ici le groupe « Les Melting’potes » que nous avons rencontré pour comprendre ce qui a présidé au choix de ce nom

 

Groupe : Les melting’potes
Parrain : Eric Spir
Démarrage du groupe : le 7 novembre 2024

 

Ce « melting’potes » est bien nommé ! Il est rare que quatre continents soient représentés en un seul groupe. Les onze membres ne sont pas encore potes le 7 novembre 2024, mais trois semaines plus tard les liens sont tissés. Ce groupe parisien compte aujourd’hui seulement dix membres, nous vous raconterons pourquoi.

Ce n’est pas la première fois qu’Ils et Elles décident de relever un important défi. Les énergies associées aux tempéraments volontaires et déterminés sont un gage de réussite. Les récoltes sont fructueuses, les post-it sont passés de 75 à 200 en quelques réunions. Une pointe d’humour s’ajoute avec une idée récurrente de métiers proposée : rejoindre le Groupe d’intervention de la Gendarmerie nationale : le GIGN. Cette idée reprend les goûts des sportifs, voire casse-cou, attirés par les sports extrêmes comme le « base jumping ». La méthode AVARAP ne parle pas de sauts dans le vide et, pourtant, il faut se lancer du haut de la falaise pour définir ses cibles. Elles sont là, toutes les trois, bien cachées dans un coin, elles attendent d’être trouvées. Les membres les plus avancés les ont validées et le premier Projet Professionnel est déjà élaboré. Le partage se retrouve dans les moments de convivialité lors des repas ou pique-niques internationaux des journées complètes.

C’est l’histoire du parrain et du séparatiste. Nous sommes après la première journée complète. Dans les jours qui suivent, l’un d’eux « disparaît ». Stupeur ! Les tentatives de contacts restant infructueuses, l’inquiétude gagne le groupe et le parrain. Toutefois, Eric reçoit un message obscur loin de le rassurer. Il a besoin d’un œil extérieur à cette situation inédite et contacte sa marraine référente. Cette association, avec ses quarante ans d’expérience en a vu d’autres ! Ses conseils et soutiens permettront à Eric de résoudre cet incident. Le groupe reprend ses marques, le séparatiste retrouvé ne reprendra pas sa place pour des raisons personnelles. Les potes continueront à dix.

Les difficultés arrivent parfois en cascade, une participante d’origine argentine doit repartir auprès de sa famille : sa mère est décédée puis, très vite, ce sera son père. Elle rejoint les siens pour quatre semaines avec la volonté de poursuivre l’aventure Avarapienne. Comme les réunions plénières sont en présentiel, seule la participation aux ateliers en distanciel est possible. Pourra-t-elle revenir comme prévu ? L’avenir le dira.

Nous leurs souhaitons longue vie d’amitié, d’entraide et de réussites pendant et après le temps de l’AVARAP.

 

Brigitte Bergstrom